Sarcasmes, démontages en règle, baffes médiatiques gratuites… dans "La riposte", Akim Omiri et sa bande décryptent et démontent l’actualité.
Faite vos adieux à la mode des faux cils maquillés, recourbés, mascaradisés, si longs que c’en est presque perturbant à regarder. L’heure est à la virilité malsaine. Une nouvelle tendance TikTok, alimentée par des théories masculinistes aussi nauséabondes que populaires, enjoint les hommes de faire entièrement disparaître leurs cils.
Direction la Bourse de Commerce, dans le 1ᵉʳ arrondissement de Paris, pour s’immerger tête la première dans la collection Pinault, à travers une sélection d’œuvres d’une quarantaine d’artistes contemporain, où l’art s’affirme comme l’antidote à la fragilité et la disparition des corps.
Une bonne dose de chaos, d’harmonies et de textures à retrouver au Théâtre-Sénart ce week-end. Nova vous fait gagner des places.
L’immortalité bientôt à notre portée ? C’est l’objectif de la start-up allemande Tomorrow Bio qui propose tout simplement de nous cryogéniser. C’est la première fois que l’Europe ouvre ses portes à ce procédé de conservation de cadavres, dans l’espoir de les ramener un jour à la vie grâce aux progrès de la science. L’occasion parfaite de revenir sur James Hiram Bedford, un américain dont le corps a été cryogénisé en 1967… Soit 58 ans plus tôt.
Une dixième bougie de soufflée pour ce qui est peut-être le plus grand disque hip-hop de notre époque. Troisième album de Kendrick Lamar, “To Pimp a Butterfly” est devenu culte presque instantanément. Certifié de platine, le chef-d'œuvre de l’originaire de Compton remporte l’aval des critiques du monde entier. “To Pimp a Butterfly” se pose en référence absolue du genre, et en chronique de la condition afro-américaine.
Combat juridique au Japon ou pour rester sous la lumière à Las Vegas, des femmes en pleine bataille.
Porter des masques, se gel-hydroalcooliser les mains, faire le ménage chez soi 3 fois par semaine, nettoyer, balayer, astiquer son corps comme sa maison, est-ce entièrement bon pour nous ? C’est la question que se sont posé des scientifiques au sujet de la Station Spatiale Internationale. Leur conclusion ? Oui et non.

