Nova part à la rencontre de Rúnar Rúnarsson, l’une des voix les plus intéressantes du cinéma islandais sur ces dernières années. L’originaire de Reykjavik signe le génial « When the Light Breaks », en salle à partir d’aujourd’hui. Une expression de l’essence d’une communauté et la solitude des individus.
Encore trop reconnu en France, Rúnar Rúnarsson est une des voix fortes apparues dans le cinéma islandais de ces dernières années. Comme ses précédents, son quatrième long-métrage, When the Light Breaks, sait exprimer à la fois l’essence d’une communauté et la solitude des individus. En l’occurrence celle d’Una, une jeune femme brisée par la mort soudaine de son petit ami, qui va devenir amie avec sa compagne officielle, sans pouvoir lui révéler cette relation. Loin de la part de suspense ou de mélo que cela aurait pu entrainer, When the Light Breaks, transforme un processus de deuil en apaisement de douleurs communes, observation éminemment délicate des sursauts que peut offrir le cours de la vie. Rúnar Rúnarsson fait la lumière sur son film au micro de Nova. (Vous pouvez écouter l’intégralité de l’interview en cliquant sur le lien du podcast en haut de l’article !).
When the Light Breaks, en salles le 19 février.