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Une bonne et une mauvaise nouvelle. La mauvaise : Donald Trump ose bel et bien tenir ses promesses les plus dangereuses en purgeant littéralement les bibliothèques américaines. La bonne : les humains ne manquent pas de ressources pour faire face au despotisme de l’administration du président Républicain. La résistance s’organise, avec le Hillman Tok, un mouvement qui rivalise de subterfuges pour contourner les zinzineries de Trump.
Si la science-fiction reste le premier terrain de jeu de la revue, le rock n’a jamais été loin de ses préoccupations.
Métal Hurlant et le 7ème art, ça reste une histoire de fusion.
Pour un tas de gens, c'est une énorme star, pour un autre tas de gens (il n’y a vraisemblablement que deux tas de gens dans l’humanité), son nom n’évoque rien. Ayra Starr est devenue la première meuf en 16 ans à remporter le prix de meilleure musique africaine aux Music of Black Origin Awards (MOBOs) britanniques. L’occasion parfaite de présenter cette icône moderne mouvement afrobeats nigérian.
Le départ d’une figure historique du féminisme. Gil Won-ok, l'une des dernières “femmes de réconfort” encore en vie, s’est éteinte à l’âge de 95 ans. La sud-coréenne a parcouru le monde pour témoigner du système d’esclavage sexuel mis en place par le Japon durant la Seconde Guerre mondiale, dont elle a été victime.
C’est en 1994 qu’Adrian Nicholas Matthews Thaws, alias Tricky, s’émancipait de Massive Attack pour publier "Maxinquaye", le 20 février 1995. L’avenir allait s’écrire avec cet artiste iconoclaste et son premier disque, encore et toujours indispensable, qui souffle sa trentième bougie.
Et si on légalisait le dopage dans le sport ? Pas sûr que ça soit une si bonne idée. C’est en tout cas l’objectif affiché des “Enhanced Games”. Ce projet de compétition sportive sans aucun contrôles antidopage entend repousser les limites du culte de la performance, et souhaite concurrencer à terme les Jeux Olympiques. Surtout, il vient de recevoir un soutien de taille, en la personne de… Donald Trump Jr.
Nova part à la rencontre de Rúnar Rúnarsson, l'une des voix les plus intéressantes du cinéma islandais sur ces dernières années. L'originaire de Reykjavik signe le génial "When the Light Breaks", en salle à partir d'aujourd'hui. Une expression de l'essence d'une communauté et la solitude des individus.
Pendant que Jamel a fini de rire, on continue à pleurer Brian Jones…

