Valéry Molet : « Demain, il faudra juste se taire, un an sur deux »

Brièvement exilé en Bretagne, cet écrivain parisien « rêve de journées sans bips et sans concerts », de « véhicules à l’arrêt », tout en réclamant « le clapotis intérieur de la poésie ou de l’activité sexuelle ».

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