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10 min

Les concerts qui nous ont fait vibrer lors de ces Trans Musicales 2021

par Bastien Stisi, Mathieu Girod et Baba Squaaly

Publié le 7 décembre 2021 à 16 h 38 min
Mis à jour le 9 décembre 2021 à 12 h 25 min

Ikoqwe © Nicolas Merienne

Ikoqwe © Nicolas Merienne

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Rodrigo Cuevas à W!zard, de Hey Djan à Loharano, de Ikoqwe à Ladaniva… nos coups de cœurs de ces Trans Musicales 2021.

La première bonne nouvelle de cette 43e édition des Trans Musicales de Rennes… c’est qu’elle a bien eu lieu ! Annulé l’an dernier et menacé par la 5e vague de Covid-19, le festival “nouveau depuis 1979” et incontestablement précurseur promettait d’accorder pour ce millésime 2021 « une place de choix à l’impact scénique et sonore du rock, qu’il soit surf, garage, psychédélique, prog, kraut, punk, post-punk, grunge, post-hardcore et même metal« . Disséminés entre de hauts-lieux de la culture rennaise intra (L’Ubu, L’Étage, le TNB, L’Aire libre, le Triangle) et extramuros (le Parc Expo et ses halles tout près de l’aéroport), voici, outre le concert d’Andrea Laszlo de Simone au Théâtre National de Bretagne dont on a déjà beaucoup parlé, 10 concerts, et même un peu plus, qui nous ont fait vibrer lors de ces Trans Musicales 2021.

  • Rodrigo Cuevas © Nicolas Merienne
    Rodrigo Cuevas © Nicolas Merienne
  • W!zard © Nicolas Merienne
    W!zard © Nicolas Merienne
  • Hey Djan © Nicolas Merienne
    Hey Djan © Nicolas Merienne
  • Ikoqwe © Nicolas Merienne
    Ikoqwe © Nicolas Merienne
  • Lalalar © Nicolas Merienne
    Lalalar © Nicolas Merienne

Rodrigo Cuevas à L’Étage

De la pop chantée en italien avec Andrea Laszlo de Simone… et de la folk chantée en castillan quelques heures plus tôt à L’Étage, qui accueillait la performance hautement perchée de ce génial compositeur, musicien et chanteur que les enfants mal-pensants nommait maricón lorsqu’il était petit et qui se définit aujourd’hui comme un auteur “queer de folk asturienne”. Rodrigo Cuevas vient donc d’Asturie (la région d’Oviedo, au Nord de l’Espagne), et s’inspire des traditions musicales st culturelles de sa région d’origine pour proposer une folk azimut et là encore, incroyablement libre. On pense à Rosalia qui aurait rencontré Freddie Mercury. Ce n’est pas tout à fait ça mais nous ne sommes pas loin.

Personnage haut en couleur, Rodrigo Cuevas s’exprime en espagnol, en anglais, et surtout via le langage de la Trans, qui atteint son paroxysme sur l’entêtant « Muiñeira para a filla da bruxa », cérémonie que l’on jugerait tirée des Sorcières d’Akelarre de Pablo Aguër et qui dynamite à coups de sortilèges la frontière entre le répertoire folk asturien, la musique électronique sous psychotrope, le R&B de dancefloor. Un set différent, transcendant, singulier. Bastien Stisi.

BATIDA apresenta IKOQWE au Parc Expo

“Si la vie était un festival, on l’appellerait Transmusicales”. C’est sur cette punchline que conclu IKO sur un beat afro-électro de COQWE, avant de laisser la foule s’enjailler sur le célèbre « Indépendance Cha-Cha« , bande-son rumba congolaise des indépendances dans les 60’s. IKOQWE nous a tout simplement mis une gifle auditive à coup de basses, de rap et de sonorités traditionnelles africaines.

Le duo est composé de deux extraterrestres masqués observant l’espèce humaine. Derrière leurs bandages camouflant leurs visages, on distingue rapidement les deux activistes angolais, à la batterie DIY et aux machines, le beatmaker Batida, et le rappeur Ikonoklasta. Derrière eux est projeté un énorme ghetto-blaster, symbole de leurs années de défrichage sonore mais peut-être aussi les ondes radios qu’ils ont pu capter depuis leur planète. Au fur et à mesure du live, on distingue des samples de IAM, de NTM mais aussi du célèbre « Bazuka » de Batida, ou encore du “Mauvaise ambiance” de Badi, (qui s’est produit deux jours avant eux).

Le binôme a insufflé son mélange subtil de rythmiques ancestrales du continent africain avec du kuduro digital, de la house, du hip-hop. Sur cette musique afrofuturiste à la fois club et pointue de COQWE (Batida), IKO (Ikonoklasta) dénonce le néo-colonialisme, le clivage nord-sud et se questionne sur l’humain avec un flow trépidant. Le concert est rempli de détails, les arrangements sont minutieux, l’ambiance est explosive et envoûtante, et agrémentée par l’arrivée d’une danseuse-chorégraphe, masquée aussi, qui va rajouter une dose de mystère et d’énergie. On est conquis ! Après le show on est tout de suite allé re-checker leur premier album The Beginning, The Medium, The End And The Infinite sorti chez Crammed Discs. Mathieu Girod.

LohArano au Parc Expo

Grosse claque de la deuxième soirée au Parc-Expo. Sur scène : LohArano, power trio malgache – underground chez lui depuis 2015 et inconnu jusqu’alors ici – inscrit à grands coups de head-banging, de riffs ravageurs et d’un 4 temps imparable, son nom qui signifie « source », sur les pages du livre d’or du rock malgache au côté de Dizzy Brains et autre Kristel. Pour ce qui est de la source, le ternaire des rythmes peyi (tsapiky, ba gasy, salegy…), il est par la magie de la mathématique musicale, subtilement présent au cœur de leurs compos. Quant aux paroles de la chanteuse, elles ciblent des problèmes de la société malgache avec le secret espoir de modifier profondément le comportement de leurs compatriotes. Redoutable ! Baba Squaaly.

WU-LU au Parc Expo

Après avoir été en transe lors de l’excellente prestation de Paloma Colombe au Hall 9, on s’arrête devant le Hall 3 vers 2h du matin, attiré par la disto et le son grunge que produit le groupe WU-LU. Deux secondes de réflexion et on court au plus près de la scène. On se retrouve bouche-bée devant le charisme du chanteur et guitariste du groupe, Miles Romans-Hopcraft, qu’on pourrait situer entre Kurt Cobain et le rappeur de Death Grips. A l’écoute de son groupe Wu-Lu, fraîchement signé sur le label Warp, on bouge la tête, on se retrouve  dans les 90’s, à l’époque où l’on passait nos aprem au skatepark en sifflant des bières, en taguant son blaze sur les murs, avec du Nirvana, Korn, ou le Wu-Tang dans nos oreilles. Le flow est parfaitement ciselé, le jeu de scène maîtrisé à la perfection, la basse puissante ! La formation fusionne aisément rock underground,  punk, le jazz lo-fi, hip-hop et grunge. Wu-Lu incarne la rage du South-London et s’annonce comme un des groupes les plus engagés et prometteurs de cette fin d’année. Mathieu Girod.

Paloma Colombe au Parc Expo

On en parlait il y a quelques secondes, la dj franco-algérienne a littéralement retourné le HALL 9 durant 1h30 de mix. Habituée de notre antenne, Paloma Colombe a transporté le public des Transmusicales dans une dimension où sonorités traditionnelles berbères côtoient les différentes époques de la musique électronique. Au sein de son mix, on se laisse happer par les rythmiques afrobeats récentes combinées de sample de collectage sonores. Sans oublier les nombreux liens avec les artistes féminines de la sono-mondiale qu’elle intègre dans son set comme le puissant Brujas de Princess Nokia. Paloma Colombe incarne le grand mix et la puissance des femmes avec brio. (Ps : elle est aussi réalisatrice de documentaires, allez faire un tour sur Planet Malek consacré au compositeur algérien Ahmed Malek). Mathieu Girod.

Molly Lewis à L’Ubu

Travailler et siffler est rarement compatible, sauf pour Molly Lewis qui, accompagnée de quatre délicats musiciens et d’un air coquin, siffle et ondule des profondeurs de sa gorge à ses lèvres et nos oreilles, des mélodies insouciantes. Elles évoquent entre easy-listening, jazz et pop, les jours heureux des années chères aux boomers comme à ceux et celles qui ne les ont pas connues. Dépaysant et apaisant ! Baba Squaaly

W!zard à L’Ubu

Pour les fans de musique punk qui débouche les narines et bouche les tympans, le set donné par les W!zard (Bordelais énervés) ce jeudi dans la chaleur de l’Ubu, valait son pesant de sortilèges. Le son est brut, porté par la sainte trinité guitare-basse-batterie, par l’héritage post-punk, math-rock. Les chants crachent la révolte et l’insolence de sales gosses qui, à force de gober le son des Anglo-saxons, ont digéré un punk redoutable fait maison. À retenir : il est possible de pogoter en respectant les gestes barrières, le port du masque et le gel hydroalcoolique qui coule sur le sol. Bastien Stisi

Hey Djan à L’Étage

Saxophoniste et multi-instrumentiste brillant remarqué pour un premier album qui scintillait autant que son nom l’indique (Brille, 2016), Adrien Soleiman proposait vendredi à L’Étage le premier concert de sa nouvelle formation, Hey Djan, un groupe hommage au répertoire folk de la musique arménienne. Proche, dans son intention, d’un projet comme Altın Gün (qui donne un élan moderne aux classiques de la musique turque), Soleiman et son groupe (Anaïs Aghayan, Djivan Abkarian, Adrian Edeline, Maxime Daoud, Arnaud Biscay) re-vitalisent un répertoire pas forcément bien connu (mais qui finira sans doute par le devenir compte tenu de l’accueil franchement chaleureux pour une première fois fait au groupe ce vendredi à Rennes. Tonnerres d’applaudissement après un set plein : on attend la suite avec enthousiasme. Bastien Stisi

Lalalar au Parc Expo

Le trio stambouliote Lalalar jongle avec les époques. Leurs emprunts appuyés à la new-wave et un pied électro très actuel voire ravageur, encapsulent les motifs anatoliens psychédéliques délicatement tissés du bout des doigts par un guitariste aux allures de Mr Propre. La voix habitée et caverneuse du tourbillonnant chanteur et bassiste finit de teinter leurs compos, ajustant sur le dancefloor, une nouvelle lecture– un poil sombre, entre passé et futur -des musiques turques. Visonnaire ! Baba Squaaly.

Aleksandir au Parc Expo

Vendredi nuit, dans un format plus club, il fallait danser, aussi, sur le set proposé par le jeune DJ et producteur turc Aleksandir au Parc Expo, auteur du petit tube house “Yamaha” et prestidigitateur, devant une salle en effervescence et, nécessairement, en transe, d’un set ultra travaillé fait de boucles qui hypnotisent, de breaks qui cassent les lignes, de beats qui explosent. Le set mêle deep house, dubstep, drum and bass, éclats de derboukas évocateurs de sa ville d’Istanbul. Ça danse avec le masque mais ça garde le sourire : la nuit pouvait débuter, ce vendredi, pour ne s’arrêter qu’aux premières lueurs du samedi bien tard la nuit et bien tôt le matin. Bastien Stisi

Et aussi…

Ladaniva. Jeudi 21:00, Hall 8. Dernière date d’une tournée au long cours et en pointillé, le concert attendu ici depuis l’année dernière, a des allures de courant d’air tant il ouvre musicalement des portes au chant arménien. Brillant !

Susobrino. Jeudi 22:00, Greenroom. La musique, les musiquesplutôtdeSusobrinosont un mille-feuilles dans lequel on croque avec plaisir. Ce multi-intrumentiste et producteur belge aux origines boliviennes signe un live encore un chouya distendu mais des plus excitants de cette dernière édition. A suivre !

Monsieur Doumani. Jeudi 23:30, Hall 3. Rendez-vous à Chypre avec ce drôle de trio (trombone, guitare et tzouras, un p’tit frère du bouzouki) qui surprend, avant de vous embarquer dans un concert sans destination au cours duquel on finit par se demander si on ne tourne pas en rond. A revoir pour se faire une idée

Yann Tiersen. Jeudi 00:00, Hall 8. Yann Tiersen regale le festival avec une « création électronique exclusive ». Gros show, du matos, du son, des beats et des images en fond de scène, comme devant sur un drappé diaphane et un artiste excité et entier, levant les bras comme un ado pré-pubère. Yann Tiersen a-t-il régalé le festivalier ? Allo l’IFOP…

Zazu – Vendredi 01:00, Hall 8. Pas le temps de danser en rond avec Zazu. La DJ rennaise break à tout va, croisant avec précision et un sens inné du groove et de la relance, bailé funk, gqom, house. Imparable !

Tankus The Henge – Samedi 23:50, hall 8 & dimanche 00:05 à l’Ubu. Vu le samedi, sans savourer pleinement l’univers foutraque des ces gonzo-rockers qui aiment le rock, mais aussi le ragtime, le funk de la Nouvelle-Orleans et le gypsy-jazz ; j’ai retourné ma veste, tombé mon pull et largué tout le reste le lendemain à l’Ubu. Histoire de proximité sans doute, mais pas que… Jaz Dolerean, le, leader au chant et au clavier/piano est un démon !

KomoDrag and The Mounodor – Samedi 03:15, Hall 3. Réunion bretonne Nord/Sud puisque ce band réunit les Moundrag (Paimpol) déjà programmés aux Trans par le passé et les Komodor (Douarnenez) vus la veille à l’Etage autour d’un répertoire rock, entre heavy, psyché et progressive. « Ici, tout est vintage, sauf nous » clament à raison ces 7 garçons aux cheveux longs qui ont retourné le Hall 3. L’aventure ne fait que commencer !

Jankev – Vendredi, Hall 8. Jankev ne laisse rien au hasard ! Il est comme KosmoPilot, de ces DJs passe-plats qui aux Trans maintiennent l’énergie à son max, le temps des changements de plateaux. Energiques et précis, les sets de celui qui fut il y a une dizaine d’années, l’assistant de Max Guiguet, notre programmateur à l’époque, ont ravi les clubbers. La classe intégrale avec qui plus est, une chemise différente à chaque set ! Bravo ! 

Star Feminine Band – Vendredi 21:50, Hall 8. Invitées l’an passé et réinvitées cette année, les très jeunes filles du Star Feminine Band avaient des étoiles pleins les yeux, et un professionnalisme, un groove hors pair. Impressionnantes !

Bob Vylan – Vendredi 23:40, Hall 8. Forcément, on pensait plus à Urban Dance Squad (le groupe en moins) qu’à Bob Dylan à l’écoute du duo londonien aux orientations grime-punk. Pogos en sus !

KosmoPilot – Samedi, Hall 8. « Shazam rame quand KosmoPilot ! » telle pourrait être la devise de cet aventurier des platines qui, depuis des années et des années, présente ses trouvailles musicales entre les concerts. 2021 fut une excellente récolte !

El Combo Batanga – Samedi 03:45, Hall 8. Ay ay ay caramba, les Trans accueille les Madrileños d’El Combo Batanga. Connecté à Spanish Harlem via un tunnel secret qui relie la capitale espagnole à ce quartier voisin de Manhattan, ils retrouvent l’esprit de la Fania, l’emblématique label new-yorkais qui dès 1964 donnait le la d’une salsa africaine et urbaine. Concert au cordeau, public bouillant, un sans faute !

Baba Squaaly

Et puis…

On retient également la performance de Rey Sapienz. Le producteur congolais membre du collectif et label ougandais Nyege Nyege, a livré un live électronique mariant l’électro aux soukouss, au dancehall, tout en posant sur ses prod’, un régal. Sans oublier Nuri, qui nous a fait terminer le festival à 6h30 du matin, juste le temps de prendre la navette et de prendre un TGV pour rentrer. Sauf qu’on avait une énergie indescriptible, sans doute liée au live du producteur tunisien. Sa musique polyrythmique faite de percussions mandingues, de chants, et de basses explosives, est totalement habitée. Mathieu Girod

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