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  • Benjamin Millepied

11 min

Podcast : La Ville dansée, Première saison

par Bintou Simporé, Isadora Dartial et Sophie Marchand

Publié le 8 juin 2024 à 20 h 00 min
Mis à jour le 10 juin 2024 à 16 h 12 min

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La Ville Dansée est une invitation à observer les villes, les monuments, les pierres qui nous entourent autrement.

C’est aussi un projet pensé par Benjamin Millepied, avec l’équipe du Paris Dance Project et un collectif artistique réunissant Solenne du Haÿs-Mascré, Françoise Vergès, Fabien Truong et Christian Longchamp, pour offrir à des chorégraphes venu·es du monde entier la possibilité d’inventer, par les corps et les danses, de nouveaux récits sur les villes.

En faisant dialoguer des histoires silenciées et de nouvelles voix, la Ville Dansée s’inscrit dans un temps long, celui de la création et de l’avenir. Pour nous raconter tout de cette première édition, qui a lieu en juin 2024 en Île-de-France, nous avons réuni celles et ceux qui ont créé, par la force du collectif et de la conversation, une proposition artistique d’une précieuse ambition.

Grigny – Seum hors time et Murs en mouvements

À propos de Grigny, on entend beaucoup de choses. Cette grande ville de l’Essonne a été classée la plus pauvre de France métropolitaine en 2020, et ce ne sont ni la crise sanitaire, ni la crise économique qui ont su arranger ça. Et souvent, on lit, dans les médias qui vont vite, que Grigny est dangereuse, brutale, enclavée, surendettée. 

Mais ce qu’on nous dit trop rarement, c’est que Grigny est un grand terrain de solidarité : une ville dont le Maire – Philippe Rio – a été élu meilleur maire du monde en 2021, où les associations et les acteur·ices public·ques tentent et réussissent des choses, un creuset historique du hip-hop, une cité jeune où l’art fleurit partout et dont un quart du territoire est occupé par des espaces verts. 

Alors certes Grigny est défavorisée, mais derrière les statistiques qui font peur, il y a des réalités qui se débattent pour exister et des Grignoises et des Grignois qui œuvrent pour leur faire une place dans l’imaginaire collectif. 

Et ce n’est pas pour rien que le Paris Dance Project a eu envie de commencer sa grande journée ici, entre la Gare capitale et le centre commercial oublié, avec un double programme : une première déambulation, confiée au collectif l’Odyssée dansante qui remue Grigny depuis des années suivie d’une chorégraphie orchestrée par Mohamed Lamqayssi, performeur inspiré par le brutalisme architectural et la vie qui y surgit. 

HANGAR Y – Garden Party

Le Hangar Y a vécu plusieurs vies : construit en 1878 à l’occasion de l’Exposition Universelle de Paris, il sera ensuite le tout premier hangar à dirigeable au monde. Par sa taille, sa hauteur, sa largeur, il impressionne. Et par son environnement aussi, déplacé pièces par pièces en 1879 dans une parcelle du château de Meudon, un haut lieu qu’il regarde en contrebas. Avec le temps, il se fera atelier d’artistes, monument historique, site de tournage, espace oublié, et finalement en 2023, il renaît sous la forme d’un lieu culturel, ouvert au public, polyvalent et ambitieux. Comme une synthèse de toutes ses mémoires et de ses métamorphoses.

Car l’histoire du Hangar Y dit aussi celles des modes, qui vont et viennent, des codes qui se détournent, qui s’imitent, qui se subvertissent et des usages que l’on détourne pour s’affirmer et devenir soi-même. 

Et c’est donc là, dans l’impressionnante nef du Hangar, haute de 20 mètres au moins, que le chorégraphe Salia Sanou a eu l’envie d’organiser une Garden Party pas comme les autres, avec des sapeurs. La S.A.P.E, cette société d’ambianceurs et de personnes élégantes, originaires de Brazzaville et de Kinshasa, un art de vivre et de se révolter, c’est donc le sujet de cette performance et de notre épisode. 

Une discussion avec Manuel Charpy, historien de la culture matérielle et de la culture visuelle, avec Salia Sanou, chorégraphe burkinabé et avec Marianne Lombardi, directrice du Musée d’Art et d’histoire de Meudon. 

Fontaine du Palais de Tokyo – Musée d’art moderne de Paris – Noir serré

Bienvenue sur ce nouvel épisode de la Ville Dansée, événement original conçu par le chorégraphe Benjamin Millepied entouré du collectif motivé de l’association Paris Dance Project pour célébrer la danse dans l’espace urbain en Île-de-France. Entrez dans la ronde des corps qui racontent des récits souvent méconnus, ouvrant ainsi de nouveaux champs d’écriture, et du côté de la tour Eiffel pour ce nouvel épisode.

Invitation à un voyage marqué par la magnificence d’un patrimoine dont s’enorgueillit la France, avec en contrepoint la sueur des paysans et ouvriers haïtiens qui ont trimé afin que l’État haïtien s’acquitte d’une dette pour rembourser les colons, planteurs, propriétaires d’esclaves, armateurs et autres possédants de l’époque de l’esclavage.

La tour Eiffel, inaugurée en 1889 pour célébrer le centenaire de la Révolution française, est devenue le symbole de la puissance de l’État français dans une époque d’expansion coloniale. Cette icône de Paris témoigne de l’apport fondamental que fut l’utilisation du fer puddlé qui permettait une résistance, une souplesse, une légèreté sans lesquels un tel défi architectural n’aurait pas été possible ; le fer puddlé, une découverte qui serait aujourd’hui attribuée à des esclaves de Jamaïque et non à l’ingénieur anglais Cort. Quant à la construction de la tour, cette prouesse architecturale bénéficia d’un plan de financement qui octroya à Gustave Eiffel 1,5 million de francs or de la part de l’État ; le reste à travers des accords avec des banques aujourd’hui tenues pour responsables de l’étranglement financier de la jeune république haïtienne.

Retrouvez dans ce podcast le géographe et auteur Jean-Marie Théodat, à la suite d’une introduction du dramaturge et historien de l’art Christian Longchamp. Une autre manière de raconter cette histoire, dans le cadre de la ville dansée, c’est celle imaginée par la chorégraphe Kettly Noël sur l’esplanade du Palais de Tokyo, avec vue sur La tour Eiffel !

Jardin des Grands Explorateurs – L’opéra du villageois et To be seen

Nouvelle escale du périple de La Ville dansée au cœur de Paris. Vous êtes invité·es à rejoindre le Jardin des Grands Explorateurs. Ce jardin voulu par le baron Haussmann rend hommage à Marco Polo qui a sillonné l’Asie centrale et la Chine au 13ᵉ siècle et à Cavelier de La Salle, qui, à défaut de trouver la Tartarie, a atteint l’embouchure du Mississippi et offert l’immense territoire qu’il avait traversé, au roi Louis XIV, le nommant Louisiane en son honneur.

Dans ce Jardin des Grands Explorateurs créé à la fin du 19ᵉ siècle, resplendit une imposante fontaine en bronze, nommée fontaine des Quatre-Parties-du-Monde, mais aussi fontaine Carpeaux, du nom de son créateur. Levez les yeux, le monde s’offre à vous, un monde représenté par une ronde de figures féminines, incarnant l’Afrique, l’Asie, l’Europe et les Amériques, tenant un globe gravé des signes du zodiaque. L’Afrique se distingue par une chaîne brisée, à la cheville, symbole de l’esclavage, qui n’est toujours pas aboli dans toutes les colonies. De quoi se livrer à des interprétations de toutes sortes. 

En prélude de cet épisode, deux membres émérites du collectif à l’origine de cet événement, Solenne du Haÿs Mascré et Benjamin Millepied nous font découvrir deux chorégraphes, le Camerounais Zora Snake et l’Américain Kyle Abraham. Vous écouterez également une visiteuse très motivée, férue d’histoire de France et de son ex-empire colonial, l’ancienne ministre de la Justice, Christiane Taubira.

Kyle Abraham, avec sa compagnie A.I.M by Kyle Abraham, est régulièrement accueilli en France avec enthousiasme tant ses créations résonnent avec des préoccupations contemporaines liées à l’histoire et l’actualité afro-américaine. Cette fois-ci, il invite le danseur principal du New York City Ballet, Taylor Stanley, pour une version inédite du Boléro de Ravel.

Zora Snake, chorégraphe, performer, directeur et fondateur du festival international Modaperf, puise dans le patrimoine traditionnel bamiléké, le Hip-Hop et toute expression qui lui permettent de s’exprimer à travers différentes créations dont L’opéra du villageois.

Librairie Présence africaine – 30 nuances de Noir(es)

Rendez-vous devant la librairie et Maison d’édition Présence africaine, dans cet historique quartier parisien, dit quartier latin, prestigieux témoignage d’une activité intellectuelle et politique qu’ont mené étudiants, philosophes, écrivains et militants divers venus du monde entier, dans les années 40 et 50. Un bouillonnement qui a participé aux mouvements indépendantistes dans l’ancien empire colonial français, et dont les traces subsistent, voire se renouvellent encore de nos jours. 

La directrice de Présence Africaine, Suzanne Diop, et le rédacteur en chef de la revue du même nom, Romuald Fonkoua commentent l’œuvre d’Alioune Diop, fondateur de cette épopée culturelle panafricaine, présentée par l’autrice et politologue Françoise Vergès.

En 1956, Alioune Diop organise le premier Congrès international des écrivains et artistes noirs à La Sorbonne. Il réunit à cet événement historique de grandes figures : Aimé Césaire, Richard Wright, Jacques Rabemananjara, Édouard Glissant, Frantz Fanon, Léopold Sédar Senghor, Cheikh Anta Diop, Amadou Hampâté Bâ, W.E.B. Du Bois, James Baldwin, Jean Price Mars… En 1966, il organise avec Léopold Sédar Senghor et la Société africaine de culture le 1ᵉʳ festival mondial des arts nègres à Dakar, entre autres initiatives majeures. 

Pour La Ville Dansée, la fanfare afroféministe, conduite par la danseuse et chorégraphe Sandra Sainte Rose Fanchine, donne le la en déambulant avec ses 30 nuances de Noir(es) à la manière des parades de la Nouvelle-Orléans. 

Place Maubert – Hô nhây mùa Danser Hô Une indépen danse 

Place Maubert, c’est dans ce lieu symbolique d’une présence vietnamienne que la figure du jeune Hô Chi Minh est évoquée. Cosmopolite et internationaliste, il voyagea des deux côtés de l’Atlantique, et vécut à Paris entre 1919 et 1923. Celui qui n’était pas encore Hô Chi Minh était animé d’un fervent désir de comprendre, d’apprendre, de lire et de nouer des liens avec les communautés anticoloniales.

En 1919, il rédigea avec des compagnons de lutte un manifeste, Revendications du peuple annamite, qui s’appuyait sur le principe du « droit des peuples à disposer d’eux-mêmes » défendu par Woodrow Wilson. Ses articles dans le journal Le Paria, Le Libertaire et L’Humanité, ses pièces de théâtre, son ouvrage Le Procès de la Colonisation Française (1924) et son adhésion au communisme, le préparèrent à devenir le leader de l’indépendance du Vietnam.

Comment traduire Ho Chi Minh, qui est-il ? La chorégraphe, danseuse et enseignante aux Beaux-Arts de Paris, Emmanuelle Huynh, et l’historien Alain Ruscio, nous embarquent dans les pas du révolutionnaire. 

Église Saint-Bernard de la Chapelle – Le temps qui passe

Peu de quartiers à Paris incarnent, comme celui de la Goutte d’Or, l’accueil des personnes venues des quatre coins du monde. En découle une énergie, une richesse humaine et une sociabilité portée le plus souvent par la joie et le courage des femmes.  En 1996, en ouvrant ses portes à 300 « sans-papiers », avec l’accord d’Henri Coindé, curé de la paroisse, l’église Saint-Bernard mit en acte le principe de solidarité cher au quartier. Les images de leur expulsion brutale feront le tour du monde. 

Dans cet épisode, Johanna Siméant-Germanos, professeure en sciences politiques et auteure de La Cause des sans-papiers, nous éclaire sur la longue histoire des mouvements de sans-papiers en France. Retrouvez la chorégraphe interprète et actrice Elsa Wolliaston, accompagnée de l’artiste pluridisciplinaire Fabien De Chavanes qui présentaient ce 8 juin, Le Temps qui passe. Ensemble, ils dansent la solidarité, les luttes. Une chorégraphie pour tisser les liens de soutien et d’amitié qui se nouent entre celles et ceux venu·es de loin. Souvent au péril de leur vie, celles et ceux dont les histoires personnelles sont marquées par la douleur, la crainte, mais aussi l’espoir de trouver une terre d’accueil, ce principe ancré dans une longue tradition historique.

Philharmonie de Paris – Dzudza

L’harmonie est un état de félicité qu’inspire la musique instrumentale comme le chant. Partout dans le monde, le chant accompagne naissances, mariages, deuils, rituels, célébrations, récoltes, saisons et soulèvements.

Le chant est remémoration et transmission : les cordes de la voix humaine, aussi fragiles qu’elles sont puissantes, font vibrer les corps. Ce sont des corps vibrants qui nous donnent rendez-vous à présent pour La Ville Dansée.

Sur le toit de la Philharmonie de Paris, le chorégraphe mozambicain Idio Chichava, artiste habité par la puissance du chant dans la danse, présentait avec ses onze danseurs Dzuda. Si l’on parle, chante, et danse avec Idio, la cheffe d’orchestre, fondatrice du chœur Accentus, Laurence Equilbey, nous éclairera sur la puissance des voix réunies et l’implication du corps dans le chant. 

Stade de France – Manège

Le Stade de France porte bien son nom, il est cette arène si française qu’on adore regarder. Un Olympe sur lequel des dieux du sport et de la culture viennent trouver la gloire et parfois la défaite. Il est un lieu où l’on crie, on l’on sue, où l’on crée. 

Mais il est aussi un monument massif, ancré dans la Seine-Saint-Denis, département le plus pauvre de France métropolitaine. Et il est devenu, depuis son inoubliable inauguration en 1998, le théâtre de batailles passionnantes. Celle des travailleur·ses invisibilisé·es pour que l’on reconnaisse leur rôle indispensable dans cette société du spectacle, celle d’une foule qui questionne et bouscule, et celle de notre rapport au sport et au divertissement. 

Et alors que le Paris Dance Project a confié les clefs du Stade de France à la chorégraphe américaine, Madeline Hollander, pour qu’elle imagine une autre manière d’observer les corps en ce lieu saint, nous avons eu le plaisir d’échanger également avec deux gardiens de ce phare. Martine Marry, qui y travaille comme femme de ménage depuis mars 1998, et Lilian Thuram, qui y a joué un 28 janvier de la même année, pour gagner avec l’équipe de France une victoire prémonitoire des succès à venir.


CRÉDITS 

Journaliste et à la direction éditoriale : Sophie Marchand

Journaliste : Isadora Dartial 

Journaliste : Bintou Simporé 

Réalisateur / ingénieur du son : Benoit Thuault

Directrice artistique : Sylvie Arditi

Chargée de production : Raphaëlle Gibert

Chargée de production : Julie Kleinfinger

Musique : Christophe Hammarstrand 

Assistant son : Clément Sikula

Voix off : Mehdi Laid 

Directrice publicité et partenariats culturels : Cécile Revenu

Cheffe de projet : Léna Le Roux Bourdieu

COLLECTIF DE CRÉATION ARTISTIQUE : Solenne du Haÿs Mascré, Benjamin Millepied, Françoise Vergès, Fabien Truong, Christian Longchamp.


La Ville Dansée prend place dans tout Paris ce samedi 8 juin, avec une performance par heure dans un endroit emblématique de la capitale. De la Seine-Saint-Denis à la tour Eiffel, le Paris Dance Project célèbre la danse dans l’espace urbain du Grand Paris.

Une initiative qui se clôture à Saint-Ouen en notre compagnie, avec une scène curatée par nos soins : un live hybride de PPJ suivi du DJ set d’Emile Omar. C’est dès 19h sur l’esplanade à l’arrière de la mairie de Saint-Ouen. Pour découvrir la reste de la programmation, c’est par ici.

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