Albums cultes
Le 23 novembre 1993, il y aura 31 ans ce samedi, Snoop Dogg publiait "Doggystyle", son premier album, sur les cultissimes labels Death Row et Interscope. Cette année-là, avec ce disque, le célèbre rappeur tirait la queue du Mickey et devenait incontournable. On se devait de revenir sur ce chef-d’œuvre absolu du hip-hop West Coast, produit par Dr. Dre.
En 1981, un an avant de produire "Thriller", le chef-d'œuvre ultime de la pop, avec Michael Jackson, Quincy Jones plongeait la tête la première dans le groove des 80’s avec “The Dude”. En solo, mais bien accompagné, le génie américain signe un disque charnière de sa carrière.
Si 1974 fut l’année de la sortie du "Diamond Dogs" de David Bowie ou du "Court And Spark" de Joni Mitchell, un certain disque ne fait pas vraiment de bruit. Baptisé "Natty Dread", signé par un jeune Bob Marley, Nova revient sur ce classique à en devenir, qui marque le début de l’ascension fulgurante du “King Of Reggae”.
Comme d'hab, Nova revient chaque semaine sur un album culte. L'heureux élu de cette série hebdomadaire fête ses 10 ans. Il a été façonné par un dandy anglais qui a quelque chose de Gainsbourg, en moins crade, en plus electro-pop au soleil.
C'est le 12 octobre 1999 que Yassin Bey, anciennement Mos Def, signe ce chef d'oeuvre majeur du hip-hop. Un disque poétique et précurseur, à la pointe des productions de l'époque.
Il fête cette année ses 40 ans, l'album The Age Of Consent, que l'on connait surtout pour son titre qui a conquis toutes les enceintes en 1984 : Smalltown Boy. Une track ultra gay d'un groupe qui fait partie de cette vague d'artistes qui, en l'espace des 12 mois de 1984, a fait sortir la pop du placard.
Le 1ᵉʳ septembre 1984 sortait un disque culte, devenu un film documentaire, qui se regarde autant qu'il s'écoute. Alors qu'il vient d'avoir 40 ans, revenons sur l'album le plus marquant de Talking Heads.
Avec son premier long-format, FKA Twigs compose sa propre vision du R&B, résolument novatrice. Sorti en 2014, « LP1 » a fêté la semaine dernière ses 10 ans. Ce qui nous a évidemment donné envie de revenir sur le disque et le parcours de l’artiste jusqu’ici.
Le premier album éponyme du duo de l’ouest londonien a fêté ses dix ans le 15 juillet dernier. Un disque estival, chaud, moite, que ses auteurs encore anonymes à l’été 2014 signent de leurs initiales J et T, pour Joshua Lloyd-Watson et Tom McFarland.
Difficile d’évoquer la bossa nova et toutes ces sonorités brésiliennes, faites de guitare acoustique ou de maracas, sans mentionner Cru, sorti le 21 septembre 2004. Le disque vingtenaire se dote pour l'occasion d’une belle réédition vinyle exclusive, amplifiée avec un titre bonus inédit.
Aujourd'hui, double ration de funk. Le 3 juin 1974, Parliament sort "Up for the Down Stroke". Puis le 10 juin 1974, Funkadelic renchérit avec "Standing on the Verge of Getting It On". Ce sont en réalité les mêmes musiciens pilotés par George Clinton avec un seul but : répandre la bonne parole du Funk.
Le 25 juin 1984 sortait l'un des plus grands albums de l'histoire : "Purple Rain". Sixième album de Prince, c'est avec lui que le "Kid de Minneapolis" est entré dans la légende.
Pièce maîtresse du punk, l'album "London Calling" de Clash sortait il y a 45 ans. Loin d'être uniquement un bijou musical, ce disque est avant-tout un long manifeste révolutionnaire et antifasciste.