Radio Nova Radio Nova
  • Rechercher
  • S'inscrire à la newsletter
  • les radios
  • c’était quoi ce titre
  • les podcasts
  • les playlists
  • actualités
  • La grille de Radio Nova
  • les fréquences
  • nova aime
  • le shop

Télécharger l’application Nova

  • app store
  • google play
Logo

les radios

Radio Nova
Radio Nova
Nova Classics
Nova Classics
Nova la nuit
Nova la nuit
Nouvo Nova
Nouvo Nova
Nova Danse
Nova Danse
Nova Soul
Nova Soul
Nova Reggae
Nova Reggae
Nova Hip-Hop
Nova Hip-Hop

les podcasts

La dernière
La dernière
La chronique de Guillaume Meurice
La chronique de Guillaume Meurice
La chronique d’Aymeric Lompret
La chronique d’Aymeric Lompret
La chronique de Pierre-Emmanuel Barré
La chronique de Pierre-Emmanuel Barré
La chronique de Juliette Arnaud
La chronique de Juliette Arnaud
t’as vu l’heure ?
t’as vu l’heure ?
nova club
nova club
pop corn
pop corn
nova y va
nova y va
nova danse
nova danse

le shop

le shop
le shop
le shop
le shop
le shop

les playlists

les playlists
les playlists
les playlists
les playlists
les playlists
les playlists
  • c’était quoi ?
  • actualités
  • podcasts
  • fréquences
  • nova aime
  • la grille
  • playlists
  • les radios
  • newsletter
  • le shop

Rechercher

Ce podcast est réservé aux abonnés

Accédez à l’intégralité des Inrockuptibles

Abonnez-vous

Vous êtes déjà abonné ?

Connectez-vous
  • Actualités
  • Afrique du Sud

3 min

Masego : « On a trouvé notre identité en créant la TrapHouse Jazz »

par Clémentine Spiler & Bintou Simporé

Publié le 24 juillet 2019 à 11 h 57 min
Mis à jour le 24 juillet 2019 à 15 h 17 min

  • Partager
  • Partager
  • Envoyer
  • Envoyer
  • COPIER Copié
  • Plus

Le multi-instrumentiste était cette année au festival Afropunk. On y était aussi.

Le 14 juillet dernier au festival Afropunk, on a croisé Masego, americano-jamaïcain qui a sorti en septembre 2018 son premier album, Lady Lady. On a discuté avec lui de ce premier opus et de sa musique, éclectique, qu’il définit sous le drôle de nom de « TrapHouse Jazz », fruit de ses origines et de nombreux voyages.

Tu es en pleine tournée européenne en ce moment ? Comment ça se passe ?

Super. On n’arrêtait pas de me dire de prendre un manteau mais franchement ça va. Super temps.

C’est une tournée qui va t’amener en Afrique du Sud, dont une partie de ta famille est originaire. C’est particulier pour toi d’aller jouer là- bas ? 

Oui, c’est toujours une sensation de rentrer à la maison. Je suis excité de voir la famille. Et puis c’est une bonne manière de fêter la nouvelle année.

Voyager te fait réfléchir à ce que tu es

Au-delà de tes racines sud-africaines, tu es né en Jamaïque et tu as grandi aux États-Unis, c’est bien ça ?

Je suis beaucoup de choses. Mon père est jamaïcain et cubain, et j’ai grandi en Virginie, puis à Washington DC, à New York… Mon père était militaire donc on a beaucoup voyagé. Voyager te fait réfléchir à ce que tu es. Tu récoltes un peu d’une culture, un peu d’une autre. Ça diversifie ta playlist… Tu absorbes tout ce qui t’entoure. Ça a beaucoup impacté ma musique.

Tu as aussi été influencé par le gospel que tu entendais à l’église, enfant ?

Je pense que tous les Noirs américains sont influencés par le gospel (rires). Je peux reconnaître n’importe quel accord de gospel sur n’importe quel instrument. En fait, le gospel se ressent plus qu’il ne se reconnaît. C’est comme une partie de ton âme.

Ta musique mélange beaucoup d’influences hip-hop, jazz, blues, électronique… Tu la définis comme « TrapHouse Jazz ». Ça veut dire quoi pour toi ?

C’est un sentiment de communauté. Quelque chose que je construis, avec mes amis, depuis notre adolescence. À quinze ans, on avait besoin de sentir qu’on avait une identité, on l’a trouvée en créant la TrapHouse Jazz, qui nous représente vraiment.

En 2017 tu as connu un énorme succès sur YouTube avec le morceau « Tadow », en featuring avec le producteur français FKJ. Aujourd’hui, cette vidéo tournée en plan séquence en studio a plus de 142 millions de vues, comment tu expliques cet engouement ?

Je pense qu’il vient avant tout d’un intérêt pour le processus de création. J’ai le sentiment que les gens ne savent pas toujours comment on fabrique nos morceaux. J’ai voulu montrer ça. En plus notre énergie était très bonne avec FKJ. On a créé ce morceau en très peu de temps alors qu’on venait à peine de se rencontrer. 

Dans cette vidéo et sur scène on découvre tes talents de multi-instrumentiste. Tu es saxophoniste, bien sûr, mais aussi batteur, guitariste, bassiste… De combien d’instruments joues-tu ?

La rumeur dit cinquante-quatre.

La rumeur est vraie ?

Je ne sais pas, je n’ai pas compté.

Ton album est dédié aux femmes qui t’entourent. Il paraît que tu as appris chaque instrument pour impressionner une fille. C’est vrai ?

Tu sais c’est comme quand Will Smith dit qu’il ne peut exceller que pour impressionner une femme. Uniquement dans l’optique de gagner son cœur. C’est un peu comme dire : « Ta couleur préférée est le vert ? Moi aussi ». Mais avec la musique c’est plutôt : « Tu aimes l’art, laisse-moi alors m’intéresser à l’art pour que je puisse avoir une conversation avec toi ».

C’est ce que j’aime dans le jazz : il est universel.

Quelle est ta relation avec « Hi De Hi De Ho » ?

Cab Calloway ? Tu connais Cab Calloway ? Il jouait dans les années 40 mais je le considère quand même comme un mentor, parce que j’ai regardé tous ses documentaires, j’ai tous ses vinyles. Le « Call and Response » est mon aspect préféré de la musique jazz et je l’ai intégré dans ma musique. Peu importe que tu sache ou non qui je suis, ni même que tu aimes ce que je fais sur scène. Je te donne quelque chose et tu me donnes quelque chose en retour. C’est ce que j’aime dans le jazz : il est universel.

Visuel © Facebook de Masego

  • Afrique du Sud
  • Masego

La rédaction vous recommande

Afrique du Sud

Sho Madjozi, c’est la Champion’s League

Sho Madjozi Sónar Festival
A lire sur img large news
Bintou Simporé
Muzi : « Sans Johnny Clegg, on n’aurait pas connu le Maskandi dans le monde »

Muzi : « Johnny Clegg m'a beaucoup inspiré... »

Johnny Clegg Muzi Néo Géo Nova
A lire sur img large news
Un documentaire nous plonge dans la house sud-africaine de Batuk

Un documentaire nous plonge dans la house sud-africaine de Batuk

A lire sur img large news

Par

Clémentine Spiler & Bintou Simporé

Les plus lus

Brigitte Poupart
1.

Gagnez vos invitations pour “Jusqu'à ce qu'on meure” de Brigitte Poupart avec la Compagnie Transthéâtre le 14 décembre 

Fontaines D.C.
2.

La Route du Rock annonce Fontaines D.C. pour leur unique date française des festivals 2026 !

Les Inrocks Super Club
3.

Gagnez vos places pour les soirées des Inrocks Super Club les 26 novembre et 17 décembre prochains 

Barbara Butch
4.

Gagnez vos invitations pour la soirée de Barbara Butch à l’Opéra Comédie de Montpellier le 31 décembre

Céleste Métais-Grollier
5.

L'Autre Noël de Nantes, Nova y va

logo lesInrocks logo lesInrocks

Recevez les trésors de la rédac. Inscrivez-vous à la newsletter Nova Selecta

[sendify-optin-form list="15" placeholder="Votre email"]
Accueil
Recherche
Toutes les semaines, recevez les pépites musicales de la rédac.

Toutes les semaines, recevez les pépites musicales de la rédac.

Classiques d’aujourd’hui et de demain, raretés, rare grooves… le son de Radio Nova dans votre boîte mail, tous les jeudis à 18h.

Inscrivez-vous

Déjà inscrit ?

Connectez-vous
Radio Nova Radio Nova

L'actu

  • les radios
  • c’était quoi ce titre
  • les podcasts
  • les playlists
  • actualités
  • La grille de Radio Nova
  • les fréquences
  • nova aime
  • le shop

Populaires

Nova Aime
La dernière
Pierre-Emmanuel Barré
Guillaume Meurice
Juliette Arnaud
Aymeric Lompret
concert
Nantes
festival
Humour

À propos

  • Contact
  • Nova crew
  • Mentions légales
  • Nova – La dernière
  • Je souhaite envoyer ma candidature à Radio Nova
  • Conditions générales d’utilisation
  • Conditions générales d’utilisation et politique de confidentialité pour application Radio Nova
  • CGU & politique de confidentialité pour Nova TV