Pop Corn
Qu’on se le dise, en ces temps d’interrogation d’un racisme systémique en France, le noir est une couleur qui va formidablement bien à la comédie bien de chez nous.
Pour se remettre des dégâts causés par un pangolin, un dessin animé sud-coréen ou les humains font mener une vie de chien.
Les gueulantes post-mai 68 sont toujours aussi véhémentes aujourd’hui. Encore faut-il qu’elles soient entendues.
Quand le cinéma russe prend la route c’est pour confirmer que tous les chemins, mêmes bucoliques, mènent au Kremlin.
Quand un génie formaliste s’emparait du péplum italien, il ne pouvait que lui redonner de splendides couleurs.
Le chemin est long entre la Corée du Sud et la Turquie, mais les bonnes histoires (et les bons films) n’ont pas de frontières.
Après avoir révolutionné l'art du générique, Saul Bass cassait la ligne claire de la SF avec son unique long-métrage. Phase IV ramène sa fascinante science, pour compléter les théorèmes cosmiques de Kubrick.
Le cinéma de Philippe Barassat continue à rompre avec les habitudes, en proposant une véritable variation sur un même « t’aime ».
Pour vivre heureux (lors du déconfinement), vivons masqués. Mais plutôt que de demander au gouvernement comment les porter, posons la question aux grandes figures dissimulées du cinéma.

