Pop Corn
Une histoire improbable de truie kidnappée rappelle qu’il ne faut pas prendre Nicolas Cage pour une truffe.
L’ascension d’une ambitieuse pornstar met à poil les nouveaux rapports sociaux.
Pendant qu’un junkie repentant bataille pour conserver son statut de père, le cinéma de Robert Guédiguian se trouve un remarquable héritier.
Une remarquable exposition au musée du quai Branly décrypte la portée historique, sociale politique, de films où l’on se met de sacrées branlées.
Qui a dit que l'Armée était une affaire d'hommes ? Pas Rachel Lang. Encore moins le second film de cette réalisatrice, "Mon légionnaire".
On ne le rappellera jamais assez, le bon cinéma d'épouvante est celui qui n'a pas peur d'intégrer un rapport au réel, pour le commenter.
De l’autre côté des Pyrénées se tient actuellement l’équivalent espagnol de Cannes : sans la Croisette, mais à dimension plus humaine.
À quoi tient une bonne comédie ? Peut-être bien à ce que l'on trouve de moins en moins souvent dans celles françaises : un postulat non seulement original mais surtout qui s'en sert pour s'affranchir de certaines limites.
Un programme de cinq courts-métrages donne des nouvelles du futur de l'Afrique et de son cinéma. Elles sont très bonnes.

