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10 min

Toute la lumière sur la disco norvégienne

par Jean Morel & Morane Aubert

Publié le 20 septembre 2017 à 10 h 47 min
Mis à jour le 20 septembre 2017 à 16 h 00 min

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L’histoire d’un tropisme musical.

Il y a de cela quelques semaines, nous vous exposions l’histoire de ce micro-genre atypique qu’est le Skweee, un tropisme musical que connaissent la Finlande et la Suède. Un genre électronique extrêmement alambiqué qui est resté confiné dans ses régions natales. 

À l’opposé, la Norvège connaît depuis de nombreuses années un rayonnement international d’envergure avec des artistes majeurs qui squattent les scènes des grands festivals de longue date. Que ce soit dans le registre de la pop, avec Kings Of Convenience, mais aussi Kakkmaddafakka, The New Wine – qui penchent déjà vers quelque chose de disco – mais aussi et surtout dans un registre électronique discoïde avec des artistes qui ont fait le tour du monde, comme Röyksopp, Datarock, CasioKids, ou bien évidemment Prins Thomas, Lindstrøm et Todd Terje. 

L’incroyable vivier musical d’un pays peuplé de seulement 5,3 millions d’habitants est proprement surréaliste et suscite des interrogations pour comprendre la créativité de la scène. Cette dernière est d’autant plus intéressante lorsque l’on constate l’accointance particulière qu’à la scène norvégienne pour la disco.

Une disco norvégienne atypique qui s’est développée à contre-temps, comme un retour vers un glorieux passé alors que le reste du monde continuait d’explorer d’autres contrées musicales, poussant toujours plus loin la musique électronique, du dubstep à la techno minimale. 

Le tropisme disco norvégien 

L’histoire commence à Tromsø. Une situation géographique improbable car il s’agit d’une ville située au nord du cercle polaire Arctique, et qui n’est que la huitième ville de Norvège, une ville peuplée de seulement 38 000 habitants au milieu des années 80. 

C’est pourtant bel et bien cette ville qui va alors abriter toute une génération de producteurs. Une bande d’ados exilée et coupée du monde, et qui va pourtant réussir à se brancher sur le courant électronique, pourtant si loin de leur réalité quotidienne. Les chefs de fil de cette jeunesse enthousiaste s’appellent Bjørn Torske, Biosphere, Mental Overdrive ou encore Rune Lindbaek. Et leur rapport à la techno et à la house relève du miracle. 

À cette époque, aucune radio ne diffuse de musique électronique, ces jeunes s’accrochent alors à un mirage qu’ils fantasment au travers de leurs lectures de magazines importés, 

« C’était géographiquement et culturellement isolé et c’était avant l’avènement d’internet. Ils se procuraient des magazines musicaux anglais comme NME ou Melody Maker » explique Ben Davis, le réalisateur du film dédié au mouvement Northern Disco Lights.

La house, la techno deviennent le moteur de leur existence, ils dévorent cette culture qu’ils rêvent d’embrasser. Ils se renseignent, cherchent à en connaître toujours plus et tentent de se brancher sur tous les canaux alternatifs pour en consommer davantage. 

 

Cette jeunesse affamée construit alors ses propres récepteurs radio pour tenter de capter des ondes intéressantes qui diffusent ce qu’ils cherchent, de la techno de Détroit et de l’acid House de Chicago. En tournant le Tuner il finissent par tomber sur The Beatservice, une émission norvégienne hebdomadaire d’une heure menée par un certain Vidar Hanssen. Là il y a de la techno et de la house, mais jamais assez. 

Partant de la conclusion que l’on a jamais été mieux servi que par soi-même, la petite équipe s’incruste alors dans une radio locale, Brygga radio et y diffusent des disques et encore des disques à toute heure de la journée. 

C’est alors la première fois que ces gamins posent leurs mains sur des platines, des tables de mixage… Le virus est alors inoculé. Ils veulent alors produire de la musique. Animés par le rêve fou qu’il n’est pas impossible de se faire connaître, puisque A-ha est parvenu au sommet du top 50 américain. 

Première vague électronique 

Produire leur propre musique électronique, voilà maintenant ce qui anime ce petit groupe de mélomanes. Ils commencent alors à tripatouiller les synthés et finissent par mettre la main sur le Graal : un TR 808, la boîte à rythmes dont viennent tous les sons de la techno. 

Ils continuent de se nourrir de musique tout en faisant importer des cassettes, quitte à voyager à Londres en pèlerinage, chaque année pour certains, et revenir avec le plus de disques possibles. 

Leur culture s’élargit, il ne manquait plus qu’un mentor : ce sera Biosphère, un des seuls à posséder plusieurs synthés, un des seuls à produire de la techno et de la house en Norvège. Le premier à avoir une réelle audience. En 1991, Geir Jenssen lance son projet Biosphere avec un premier album, Microgravity, qui sort sur le label Origo Sound. 

En 1995, son titre « Novelty Waves » devient un tube des dancefloors suite une apparition dans une pub Levi’s :

C’est un déclencheur. Si Biosphere peut le faire, Bjørn Torske ou encore Rune Lindbaek aussi. Preuve en est, sous le nom d’Open Skies, Bjørn Torske, Rune Lindbaek et Ole Mjos signent Deep In Your Eyes et se paient le luxe d’apparaître sur MTV ! 

Tout paraît alors possible, et tant de chemin a été parcouru depuis cette première rave organisé dans un appartement en 1989 où il ne furent que 5 à danser. 

Bjørn Torske est donc une des figures majeures de ces producteurs norvégiens, dans la mesure où il entraîne avec lui une génération qui s’installe dans la musique électronique. Mais cela n’explique pas pourquoi cette génération est reconnue internationalement pour son approche disco. Et surtout, comment cette mutation s’est opérée. 

L’avènement disco

Une fois encore, l’avènement de ces sonorités disco s’explique en partie par une situation géographique, tout d’abord avec tous ces musiciens qui se déplacent à Bergen, vivier musical incroyable dont nous vous avions déjà parlé ici. 

Là-bas, autour de Bjørn Torske, c’est une scène qui se regroupe, dans un lieu précis : Primitive records, un disquaire qui devient rapidement un foyer pour ces musiciens. Ils y passent leur vie à écouter des disques, on y croise Erlend Oye des Kings of Convenience, des Ou encore Annie, mais aussi Erot, un artiste qui a une importance capitale dans l’affect qu’il a eu sur le son de cette génération et dans sa mutation.

Tore Andreas Kroknes de son vrai nom est considéré comme l’un des pionniers de ce son deep et dubby qui fait la particularité de la Norvège, bien qu’extrêmement jeune à l’époque, il avait déjà sa propre identité musicale et une touche personnelle. Immédiatement, la connexion avec Bjorn s’opère, ce dernier est littéralement bluffé par sa musique et se plonge alors dans la disco qui semble tant l’influencer. 

Erot

DJ Erot, est en effet le premier à s’approprier ces sons disco. Selon Ben Davis, « il est celui qui est parvenu à rendre la disco accessible ». Originaire de la banlieue de Bergen, il rassemble autour de lui ce qui semble émerger comme une scène dans laquelle on retrouve notamment son amoureuse DJ Annie.

Quand Bjørn Torske parle de Tore Andreas Kroknes, DJ Erot, il en fait le pionnier évident du mouvement. « Ses morceaux ont du pouvoir, et même si d’autres ont suivi ses pas, personne n’est arrivé à son niveau ».

En 1999, Erot et Annie offrent à la disco norvégienne son premier rayonnement à travers un morceau qui porte bien son nom : Greatest Hit. Le single sort sur le label indépendant Tellé, basé à Bergen et lancé par Mikal Telle à la fin des années 90. Bergen explose alors à la face du monde. 

Deux ans après Greatest Hit, Erot décède d’une maladie du coeur qui le poursuit depuis la naissance. Cette même maladie qui pendant toutes ces années de production, l’empêchait de sortir en clubs ou de boire de l’alcool. Il avait 23 ans.

Des tubes et une scène… Il ne reste plus qu’un haut parleur à cette génération discoïde de Bergen. Et là encore, c’est à la radio que le genre s’émancipe. Dans les années 90, Pål Nyhus aka Dj Strangefruit (du groupe Mungolian Jet Set) anime sa propre émission de radio, diffusée à l’échelle nationale, chaque samedi soir.

Il passe des morceaux disco des années 70 et 80. « On pouvait entendre des raretés discos pendant quelques heures. Il ne jouait pas que ça évidemment, mais c’était prédominant dans ses mix. » explique Bjorn Torske. Là encore, tout est de l’ordre du fantasme, des mélomanes qui imaginent à travers des disques ce qu’était l’atmosphère du Paradise Garage à New York !

C’est avec cette musique mise en ondes que la culture se peaufine mais surtout qu’un bon paquet de samples sont diggés. D’autant que la disco a toujours été perçue comme ringarde dans un pays davantage connu pour son métal.

 

Ce show radio était donc une bizzarerie, et amenait aux oreilles d’auditeurs norvégiens quelque chose qu’ils n’avaient jamais entendu jusqu’alors. La machine est définitivement lancée.  

À la conquête du monde

Dès lors, Bergen devient un petit phénomène planétaire aux yeux de la presse musicale. Cette bourgade allait faire la une des journaux, au point que la presse musicale anglaise menée par son leader à l’emballement parfois un chouïa excessif, le NME, évoquait au début des années 2000 une « Bergen Wave » notamment autour d’un label influent à l’époque : Tellé Records. 

Tellé Records réussit en effet à concentrer dans son catalogue l’ensemble de la scène locale, avec des sorties toutes plus réussies les unes que les autres, au point que les pressages deviennent sold-out en un temps record. Bjorn s’essaie à la house percussive avec l’excellent Jeg Vil Være Søppelmann. 

Dès lors qu’une scène a été analysée et beaucoup écoutée, elle a presque implicitement un héritage, et à l’écoute accumulée de ces disques, il devient évident qu’il existe un son norvégien. Certains l’appellent Scandoléaric, ou encore heroin disco, Nu-disco, space disco, cosmic disco.

Et cette terminologie est néanmoins assez explicite dans le sens où ce micro-genre se distingue par un travail important sur les basses et les lignes rythmiques qui sont souvent appuyées par des effets de dub, d’écho et de reverb’, qui densifient les productions. 

Dans les années 2000, de nouveaux producteurs vont faire exploser la scène électronique norvégienne à l’international. Parmi eux, Lindström, Todd Terje et Prins Thomas. Pour Ben Davis, c’est à cette nouvelle génération que l’on doit le regain d’intérêt porté au genre disco depuis quelques années, notamment parce que ces derniers l’ont replacé au coeur de l’underground. « Ils ont permis au genre d’être à nouveau apprécié. Si on écoute Lindström et Prins Thomas en particulier, ils ont apporté des éléments psychédéliques et krautrock au son désormais installé. Ça a influencé de nombreux producteurs dans le monde entier. » 

Filiation

Pourtant la plupart de ces producteurs viennent d’Oslo et non pas de Bergen, le lien de filiation ne paraît donc pas direct et évident, pourtant si l’on creuse un peu. « Quand on se penche sur ce que fait Todd Terje, on sent qu’il est comme l’héritier spirituel d’Erot. La soeur de Todd était amie avec Erot, donc il a forcément écouté sa musique étant plus jeune. On peut relier ça au succès de Todd Terje et montrer ce qu’Erot aurait pu faire. » explique Ben Davis.  

Il ne restait alors qu’à signer un succès planétaire, ce fut chose faite avec Inspector Norse de Todd Terje, encensé comme meilleur morceau de l’année par plusieurs médias internationaux en 2012. Enfin la Norvège tenait son deuxième A-Ah… La qualité en plus.  

La disco norvégienne est depuis définitivement installée dans le paysage musical mondial. C’est cette histoire étrangement longtemps passée sous silence, de Tromsø à Bergen, d’Oslo au monde, que les réalisateurs de l’excellent docu Northern Disco Lights – au passage également fondateur du label britannique Paper Recordings, Ben Davis et Pete Jenkinson ont voulu raconter.

Aucune date de projection n’a pour l’instant été définie en France, mais on peut se consoler avec le trailer :

House post-moderne?

Ce qui est particulièrement intéressant avec cette mouvance musicale de la disco norvégienne, c’est le cheminement créatif qu’elle a opéré au fil des années.

Les kids de Tromsø sont d’abord tombés dans la house et l’acid house. Comme toute une génération des années 90, ils ont grandi dans une musique fondée sur le sample.

Une immense partie de la musique composée alors, notamment par ordinateur, repose sur l’échantillonage et l’utilisation de la boucle, cette pratique musicale s’étend très rapidement dans les année 80 et 90 et est majoritairement employée dans le Hip Hop et la house.

L’éternel débat autour de la question du sample s’opère avec deux lectures possibles : la lecture optimiste est qu’elle remettait au goût du jour des grands classiques de la soul, de la funk ou du jazz, la négative était qu’elle s’octroyait un succès qui effaçait le talent d’un artiste pionnier qui avait conçu ces grooves sur lesquels les gens s’exstasiaeint désormais…

La génération de musiciens norvégiens cristallise cette question. C’est en découvrant l’acid house qu’ils ont alors entrepris un parcours encyclopédique dans les racines de la musique qu’ils produisaient, enrichissant leur culture musicale et celle de ceux qui les écoutaient.

« Un grand nombre de classiques disco étaient joué et réutilisé en musique house. Mais on s’est vite rendu compte que les les originaux étaient bien au-dessus des remakes. Comme la ‘disco’ avait toujours été un genre de gros mot dans la culture musicale Norvégienne, c’était assez simple de trouver des bons vinyls a un prix bas », précise Bjørn Torske. 

Cette deuxième vague de producteurs, de Todd Terje a Prins Thomas, gonflés à la culture internet, a alors à nouveau électronisé cette disco pour produire une house moderne et extatique. Par cette démarche, ces musiciens représentent la musique post-moderne de notre époque, celle qui n’écrit plus des mouvements et des révolutions musicales mais qui réinvente passé et futur en permanence.

Visuel : (c) DR

 

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  • Todd Terje

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