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Pretty Little Fink

par Julien Renou

Publié le 25 septembre 2012 à 11 h 04 min
Mis à jour le 25 septembre 2012 à 17 h 19 min

Pretty Little Fink

Pretty Little Fink

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Nous avons rencontré le plus folkeux de tous les ninjas de la perfide Albion. Une pop suave saupoudrée d’electronica et un personnage tout en douceur.

 A la base, Fink était un peu samouraï parmi les ninjas, différent mais avec le même esprit sonore de ses frères d’armes. Son univers blues-folk a en fait ouvert la voie à de nombreux artistes au son plus organique qu’électronique au sein du label londonien Ninja Tune. Décidé à trouver de nouvelles inspirations, il a quitté la perfide Albion pour venir s’installer dans notre belle capitale afin de parfaire son art martial musical. Rencontre.

 

Pour ce cinquième album, vous avez décidé de changer de producteur. Qu’est-ce que cela a changé pour vous?

 

J’ai changé beaucoup de choses pour cet album que ce soit dans l’écriture ou dans la manière de le concevoir. J’ai d’abord formé le groupe puis écrit les chansons, ce qui rend le son plus complet. Je l’ai enregistré dans un gros studio de Los Angeles avec un nouveau producteur, Billy Bush (Garbage et Beck).
Normalement, c’est moi qui produis mes propres albums, mais je voulais quelque chose de différent pour ce Perfect darkness. Et pour une fois, on ne voit pas ma tête sur la pochette.

 

 

Justement, on sent à travers vos albums, une intimité, que vous avez le contrôle sur vos productions… N’était-ce pas difficile de ne pas avoir la mainmise sur tout le processus de composition ? 
 


Non, j’ai adoré ! On était trois à être payés à traîner ensemble et faire de la musique. C’était génial ! Mais le vrai plaisir sera la tournée, c’est la où tu prends conscience du bonheur de jouer en groupe.  

 

 


 

Ce qui n’était pas le cas quand tu étais venu jouer pour ta première Nuit Zébrée à Paris, où tu étais seul ?
 


Oui c’était pour Pretty Little Things et ce concert a été très important pour moi. Parce que ce fut le premier show où je me suis dit (en tapant sur la table) « Voilà ! c’est ça que je veux ! ». J’étais terrifié ce soir-là mais pour une obscure raison, j’enchainais les chansons et je me disais « Bon dieu c’est ça ! ». La première fois où j’ai entendu ma musique à la radio en France, c’était sur Radio Nova, à l’hôtel. Nova représente vraiment quelque chose pour moi. 

 

Ma Nuit Zébrée Nova a été le premier show où je me suis dit « Voilà ! C’est ça que je veux ! »

 

On sent d’ailleurs ce nouvel album un peu moins sombre ? 
 


Oui, la vie est remplie de sujets, c’est un album qui parle de tous les jours d’une vie. Toutes les chansons traitent des relations entre les gens… de la peur, des choix, de Berlin… une ville où tu te fends la poire, d’ailleurs.

 

 

 

 

Racontez-nous vos premières expériences chez Ninja Tune en tant que DJ ?
 

 

C’était il y a 10 ans, J’ai essayé d’apporter une touche sexy, organique, à mes sets pour Ninja Tune. A l’époque, ce label était surtout axé sur le scratching, le turntablism, les beats. J’ai été un des premiers chez Ninja Tune à jouer du Radiohaed par exemple, parce que le morceau était mortel. Aujourd’hui, si tu es DJ chez Ninja Tune, tu dois être meilleur que les DJ locaux.

 

Parfois, ils sont là pour te mettre un coup de pied au cul, profiter de la soirée pour montrer qu’ils sont meilleurs. Ca m’est arrivé, ils connaissent le coin et savent ce qu’il faut jouer. Le Deejaying est vraiment dur, tu dois tout le temps jouer des mix que personne ne connaît, c’est pour ça que je faisais mes propres mix d’Alphex Twin par exemple, ou je mixais du Streets avec autre chose.

 

si tu es DJ chez Ninja Tune, tu dois être meilleur que les DJ locaux.

 

Mais c’était quand même super, être payé pour aller à des soirées un peu partout dans le monde… je le recommande. J’ai arrêté pour des raisons de stabilité et puis une autre génération de DJ est arrivée avec leurs propres styles.

 

 

 

Vous avez ouvert la voie chez Ninja Tune à des artistes au son moins électro comme Andreya Triana ou Jono McCleery et Grey Reverend…
 

J’étais un peu mal à l’aise au début avec le blues, déjà parce que je suis l’opposé du bluesman… Pourtant plus jeune, j’adorais le goût du blues et de la soul. Quand je suis devenu un peu plus à l’aise avec ça, je me suis dit que certes je ne suis pas noir, mais j’ai envie d’insuffler ces styles dans ma musique. Le terme Folk est un peu trop général, comme rock. J’essaye de trouver mon propre espace, mon propre style. Ma voix sonne d’une certaine façon, je ne chanterai jamais comme Thom Yorke ou Johnny Cash mais je tente de réunir toutes mes inspirations pour créer mon propre son et tout le monde y est le bienvenu. 

 

Vous êtes installé a Paris depuis 3 ans, pourquoi avoir quitté Brighton ?
 

Ma femme est française et j’adore votre nourriture, ça fait déjà deux bonnes raisons! Et puis, il a une multitude de quartiers à Paris qui me fascinent… C’est complétement différent de Londres. J’adore. 

 

 

 

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Julien Renou

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